Le SAV de la série Netflix sur la F1, en direct
Après le film Senna, construit à base d’archives de la carrière du triple Champion du Monde brésilien, et le film Rush, long métrage sur la rivalité entre Niki Lauda et James Hunt lors de la saison 1976 (récompensé par le SAV d’Or d’Honneur en 2013), voici un nouveau format grand public pour le sport que nous aimons tant.
La F1 est arrivée sur Netflix, sous forme de série basée sur des images de la saison 2018 du Championnat du Monde. Au travers de 10 épisodes, les producteurs, qui ont travaillé sur Senna, proposent une plongée au cœur du paddock, parfois même chez certains protagonistes de la discipline, en mettant en avant les joies, les réussites, les déceptions, les tensions, les enjeux tout en ayant accès à ses coulisses très fermées. Le pari de cette série est de séduire en se plaçant du côté humain et en reléguant souvent l’aspect course, c’est à dire le plus visible, au second plan.
Pour autant, le pari est-il réussi ? Ces 10 épisodes offrent-ils une image différence de la Formule 1 que nous connaissons ? Quels personnages se révèlent et quels autres brillent par leur absence ? Pourquoi Cyril Abiteboul ne nous a-t-il jamais dit que son nom avait une prononciation spécifique ? Qu’est-ce que t’as doudou dis donc ? L’équipe du SAV va tenter de répondre à ces questions et à bien d’autres le temps d’une soirée consacrée à Drive to Survive.
L’équipe du SAV de la F1 vous propose, lors de chaque émission diffusée en direct, de discuter entre vous et de communiquer avec les animateurs, dans le respect des autres et des règles de courtoisie nécessaires à tout débat.
Importer le flux : .m3u (Android, iOS, iTunes, etc.), .qtl (QuickTime), .pls (Winamp), .xspf
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Fab
Très vite passionné par l'humanitaire, Fab obtient le Prix Nobel de la paix en 1995 pour son action au Rwanda et en 2007 après avoir mis fin au conflit de voisinage qui opposait Mme Rombier et M. Bouchu depuis 24 ans. La suite de son parcours est sans fautes : HEC, l'ENA, Sciences Po, Polytechnique, Harvard, le cirque Gruss... Il manque de peu le Prix Goncourt pour son oeuvre littéraire "Un train la nuit ça fait du bruit" mais empoche finalement le Prix Fémina et le Prix des lecteurs de Télépoche pour son autobiographie "Ce que j'aime chez les animaux". En 2012, il intègre l'équipe du SAV de la F1...
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Hello !
Emission très intéressante, que je viens seulement d’écouter (fallait bien que je finisse la série avant !). C’est sympa de revenir sur ce genre de contenu « à côté » de la formule 1, un peu comme Skani (je crois ?) avait fait pour le jeu vidéo formula one. Est-ce que ça rentre dans le plan « Le SAV sans le F1 » ?
J’suis assez d’accord avec vos analyse, trouvant que le trio Abiteboul/Horner/Steiner sont les vraies stars de la série. Même si je vois pas trop en quoi Horner apparaît comme un connard dans la série, je le trouve plutôt sympathique et taquin au contraire.
AMA, les commentaires radios réenregistrés, ainsi que les rivalités un peu inventées (Sainz-Alonso) sont un peu de trop. Ça rentre dans leur intrigue, mais le problème c’est que ce n’est pas quelque chose qu’on voit. Suivre Sainz et l’entedre expliquer que battre Alonso c’est son objectif, et le voir se concentrer là dessus serait déjà plus intéressant et honnête que d’essayer de nous faire croire que leur lutte pour la 9ème place est le centre d’attention en course.
Phoque, posté ça sur le Direct au lieu du podcast…