Marco répond au questionnaire de Prost

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Marco répond au questionnaire de Prost
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Dans l’attente de la reprise de la saison de Formule 1, et afin de maximiser les revenus publicitaires du site du SAV, nous vous proposons de découvrir les membres de notre équipe. Pour cela, chacun à tour de rôle, apporte ses réponses au Questionnaire de Prost. Et on commence avec Marco ?

Sa vie d’avant… ou presque

Né en 1983, dans un état proche de l’Ohio, le petit Marco – Philippe-Auguste, de son vrai nom – connaît une enfance tranquille, à l’ombre des champs de concombres OGM tandis que son père, sosie officiel de Madonna, parcourt le monde.

Destiné, par son éducation religieuse, à une carrière de pasteur, c’est en découvrant une tranche de cheddar moisie dans le bac à légumes de son frigo, que sa vocation pour la biologie bourgeonne. C’était le 17 juin 1991, il était 14h27 : Vladimir Tomilovsky poussait son dernier soupir. Le destin. Déjà !

Après avoir fait ses gammes dans la clandestinité, grâce au jeu GéGé « Le Petit Biologiste », il profite d’un repas familial autour d’une raclette – évidemment – pour annoncer à ses parents l’intention qui est la sienne d’intégrer le célèbre Massachussets Institute of Technology. Les réactions sont contrastées, autant sur la décision de Marco que sur la charcuterie. C’était le 6 mai 2000, Ralf Schumacher se qualifiait en 5ème position du Grand Prix d’Espagne. Le destin. Toujours.

Au final, c’est à la Stanford University qu’il posera ses valises. A la douceur de vivre de Cambridge, Marco préfère le soleil de Palo Alto… et le Big Kirk Melt, un burger généreux en cheddar proposé par l’enseigne Kirk’s SteakBurgers.

Alors qu’on lui promet un avenir radieux en biologie moléculaire, Marco s’attire les foudres de ses professeurs en présentant une thèse sur l’utilisation du cheddar comme combustible alternatif pour la propulsion nucléaire des sous-marins. Cette fois-ci, les avis ne sont pas contrastés : la dimension écologique échappe à tous. Congédié par Stanford et décrédibilisé auprès des milieux scientifiques, Marco finit par s’exiler au Canada où le système local de santé lui permettra de soigner sa listériose chronique.

Pendant sa convalescence, il découvre sa vocation pour la chirurgie ambulatoire et écoute son premier épisode du SAV de la F1… C’était un jeudi. Il ne s’est rien passé de particulier ce jour-là. Le destin. Définitivement. Vous connaissez la suite !

Marco et la famille du SAV

Saviez-vous que Marco connaît l’emplacement de toutes les plaques d’égouts du circuit Gilles Villeneuve ? Si ce n’est pas le cas, c’est que vous n’avez pas encore écouté toutes les émissions avec Marco au micro.

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