Buchor répond au questionnaire de Prost

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Buchor répond au questionnaire de Prost
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Dans l’attente de la reprise de la saison de Formule 1, et afin de maximiser les revenus publicitaires du site du SAV, nous vous proposons de découvrir les membres de notre équipe. Pour cela, chacun à tour de rôle, apporte ses réponses au Questionnaire de Prost. Après McLovin, c’est au tour de Buchor !

Sa vie d’avant… ou presque

D’aussi loin qu’il se rappelle, Buchor avait toujours rêvé de devenir champion cycliste. Hélas, souffrant de troubles chroniques de l’équilibre, Edouard Goossens ne percera jamais, si ce n’est dans le milieu très fermé des collectionneurs de bobs Ricard.

Après avoir poussé son premier cri à la maternité du centre hospitalier Sambre-Avesnois de Maubeuge, c’est à quelques kilomètres de là, dans une cité pavillonnaire de Neuf-Mesnil, que Buchor connut une enfance tranquille et heureuse, arpentant les concours de miss locales, aux côtés de sa mère, déléguée régionale du Comité Miss France.

De ces années, il tient son amour pour les bas en soie et le maquillage, mais surtout le souvenir de sa plus grande désillusion. En effet, à tout juste 17 ans, Edouard souhaite exprimer son côté féminin en s’inscrivant, dans le plus grand des secrets, à l’élection de Miss Avesnois. Le 8 mars 1998, alors que Stacy Dragila porte le record du monde de saut à la perche féminin en salle à 4 mètres 48, Buchor, lui, ne dépasse pas le stade des sélections. L’affaire fait grand bruit dans le landerneau des concours de beauté : cinq jours plus tard, Jeanine Goossens est démise de ses fonctions, mère et fils ne se parleront plus pendant près de dix ans.

Le bac en poche, Buchor poursuit, à Lille, des études en rudologie qu’il finance grâce à des prestations non moins remarquées que remarquables, au cabaret transformiste de Hellemmes. Sur scène, il offre une seconde jeunesse à Sheila et magnifie Natasha Saint-Pier. « L’homme plus femme, que femme » pouvait-on lire dans les pages Culture de l’édition locale de La Voix du Nord. C’était le 6 avril 2003 : à Imola, Jos Verstappen abandonnait sur problème électronique.

Quatre ans plus tard, c’est la gloire ! Edouard Goossens se voit proposer un rôle dans Bienvenue chez les Ch’tis. Hélas, après trois jours de tournage, l’aventure s’arrête. Son accent ch’ti est si prononcé, que même Dany Boon ne le comprend pas : il sera finalement coupé au montage.

Conscient qu’il vient de rater l’opportunité de toute une vie, Buchor plaque tout et s’installe à Albi. Du jour au lendemain, il prend l’accent tarnais, preuve s’il en est des vertus de la Salvetat. Suivront les bougnettes, la croustade et la course automobile. Vous connaissez la suite.

Buchor et la famille du SAV

Saviez-vous qu’il est arrivé à Buchor de remporter un quizz dans le SAV ? Si ce n’est pas le cas, c’est que vous n’avez pas encore écouté toutes les émissions avec Buchor au micro.

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