Espagne 2014 – Le top/flop des essais libres

Avant les qualifications et notre podcast en direct à 18h, voici nos 3 tops et nos 3 flops des essais libres du Grand Prix d’Espagne 2014.

LES TOPS

Hamilton. Même s’il n’est pas en tête du championnat, le pilote britannique a dominé de la tête et des épaules les trois séances d’essais à Barcelone. Facile dans chacune de ses sorties, il laisse les autres pilotes gommer la piste. Il ne sort que pour claquer un temps, en alignant les trois meilleurs secteurs. La F1 est une guerre psychologique. Il semble dominer complètement son équipier, même s’il n’a pas cherché à battre son équipier, lors des libres 3, en ne forçant pas en pneumatique Médiums.

Renault F1 / Total. L’écart des vitesses de pointes, avec les écuries équipées de Mercedes et celle équipé par Renault, a été réduit drastiquement. Lors des libres 2, Ricciardo touchait 329 km/h alors que Rosberg était à 331 km/h, et Hamilton à 335 km/h. Le point faible des Red Bull a semble-t-il été corrigé par Renault F1 et Total. Le fournisseur de carburant ayant même réussi à faire homologuer une nouvelle essence vendredi soir, pour une mise en place en libres 3. Avec ce nouveau carburant, trois dixièmes seraient encore gagnés.

Le casque d’Adrian Sutil. Même si les fans se désespèrent des changements intempestifs des couleurs des casques, quiconque est allé à Barcelone, ne peut que se réjouir de l’hommage d’Adrian Sutil, au célèbre architecte catalan Antoni Gaudí, rappelant joliment les mosaïques du Park Güell.

LES FLOPS

Toro Rosso. Cette année la FIA est intransigeante avec les équipes qui relâchent des voitures dont les roues sont mal fixées. Jean-Eric Vergne rafle la mise à l’issue de la deuxième séance d’essais du vendredi, avec une sanction de dix places sur la grille de départ de dimanche.

Lotus F1 Team. Toro Rosso et Caterham ont confirmé avoir payé Renault F1. Gérard Lopez, viendra-t-il nous redire que la situation de son équipe est consolidée financièrement, mais que le principal problème vient de Renault F1 ?

Pirelli. Aux dires des pilotes, Pirelli a été très conservateur dans son choix de pneus. La comparaison avec le GP2 n’est pas flatteuse pour la F1, l’écart étant très faible. Seules les 7 plus mauvaises GP2 ne seraient pas devant les Marussia et les Caterham, lors de la séance des libres 3. La FIA veut elle créer une catégorie open, comme nous l’évoquions dans notre dernier podcast ?

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