Vettel, FIA, Kubica : le SAV de l’actu F1, en podcast

Pour les combis : force rose devant et caca d’oies derrière ! :-)))

Ca fera un beau dégradé ! 🙂

Etant un ardant défenseur de l’intransigeance des pénalités des unsafe release, je me rappelle que, dans nos débats, nous étions généralement unanimes quant au fait que la sévérité que nous exigions était due à la présence des mécaniciens et des médias. L’incident Vettel/Hamilton était en piste, ne mettant, à cette vitesse, personne d’autre en danger qu’eux-même. La comparaison n’a donc pas lieu d’être et je crois qu’il serait facile de trouver des contradictions dans certains propos.

Après, je suis surpris par la réaction de Fab qui, tranquillou, sous entend que s’il n’y a pas eu sanction supplémentaire contre Vettel, c’est que la FIA n’a pas véritablement réinvestigué le dossier. Ils ont simplement estimé que la sanction prononcé en course et les excuses de Vettel, assorties d’un travail de sensibilisation dans les autres catégorie FIA était suffisant : nous ne savons vraissembablement rien du travail d’investigation qui a été mené. Un peu de rigueur et d’objectivité 😉

Enfin, la saisie du dossier par la FIA est évidemment influencée par la pression populaire et médiatique. Je n’ai pas souvenir de la dernière fois que la FIA c’était autosaisie de cette manière, mais elle a eu plusieurs fois des occasions où ça se serait tout autant justifié – je pense à un dépassement dans la voie des stands – mais où elle n’a pas bougé le petit doigt. Il était clairement question de montrer qu’ils ne restaient pas les bras croisés pour répondre à la pression, à commencer par Hamilton, qui avançaient l’argument de l’exemplarité et qui appelaient la FIA à intervenir. Bref, on ne peut certainement pas dire que la FIA s’est autosaisie indépendamment de toute pression populaire et médiatique.